🔌 Les bornes de recharge pour véhicule électrique : ça nous branche !
🎂 En bonus : on vous parle de nos rituels d'entrepreneurs dans cette phase exploratoire
🌍 Bonjour à vous, éclaireurs de la transition verte,
Pour cette nouvelle édition de notre newsletter Nouvel Air, nous nous attaquons à un domaine passionnant : les bornes de recharge pour véhicule électrique. C’était la suite logique après avoir longuement exploré les batteries 🤓
Combien de bornes y a-t-il en France ? En combien de temps rechargent-elles un véhicule ? Est-ce qu’il y a des bonnes idées de business autour de ça ? A la fin de cette newsletter, vous saurez tout (allez peut-être pas tout, disons que vous en saurez pas mal). Let’s go.
Le programme du jour :
introduction sur les bornes 🐣
les bornes en chiffres 📊
on creuse 3 idées de business autour des bornes de recharge 💡
le moment formation : nos rituels 🎂
La newsletter risque d’être coupée par email. Pour la lire en intégralité, cliquez sur ce lien afin de l’ouvrir dans votre navigateur 👇
Bilan de nos efforts depuis le début de l’aventure :
☕️ 270 rendez-vous/cafés/calls avec des experts/entrepreneurs/cibles potentielles (+71 en octobre 🤯)
📃 283 documents lus/podcasts écoutés/vidéos visionnées (+16)
💡 125 idées d’entreprise (+6)
Comme vous le voyez, on s’est mis en mode machine à rendez-vous ! C’est la clef du succès 💪
Introduction sur les bornes
Une borne de recharge pour véhicule électrique est de prime abord un objet assez simple : c’est une grosse prise électrique avec un petit ordinateur intégré.
En réalité, bien sûr, c’est un peu plus complexe que cela… il en existe différents types en fonction des usages, avec une myriade d’acteurs pour construire, vendre, installer, et opérer ces équipements - qu’on appelle “IRVE” dans le milieu pour Infrastructure de Recharge pour Véhicules Electriques.
On peut distinguer deux grandes catégories de bornes :
les bornes “AC” dites “basse puissance” 🐢 : elles délivrent un courant alternatif (AC) et sont souvent utilisées pour les recharges à domicile ou dans des lieux publics (comme les parkings). Leur puissance varie généralement entre 3,7 kW et 22 kW. La recharge est plus lente, mais adaptée aux longues durées de stationnement : durant la nuit ou une journée de travail par exemple.
les bornes “DC” dites “haute puissance” 🐆 : elles délivrent un courant continu (DC pour Direct Current) et sont destinées aux recharges rapides. Ces bornes, souvent présentes sur les autoroutes ou les stations de recharge rapide, offrent des puissances de 50 kW à plus de 350 kW. Elles permettent de recharger rapidement une batterie de véhicule électrique, souvent en moins de 30 minutes pour atteindre 80 % de charge.
Les bornes de recharge transforment profondément le paradigme de la mobilité (eh oui 🤓) : là où le véhicule thermique nécessitait d’aller régulièrement à la station essence pour remplir le réservoir, le véhicule électrique permet lui de se recharger chez soi, au bureau, dans un parking, ou en station service. Ce qui implique à la fois des énormes changements du côté des infrastructures, des constructeurs, des comportements des automobilistes, de l’écosystème d’acteurs autour,…
Panorama des acteurs de la borne
Les acteurs qui vendent, installent et opèrent l’IRVE sont les opérateurs de borne ou “CPOs” (Charging Point Operators). Ils se spécialisent généralement sur un ou plusieurs marchés : celui des parkings d’entreprise par exemple, ou des lieux publics très fréquentés. Il en existe des centaines en France, depuis le petit acteur qui opère quelques dizaines de bornes à la division IRVE d’EDF, en passant par les start-ups spécialisées telles que Bump ou Electra, ou encore les acteurs de la grande distribution tels que Leclerc ou Lidl. C’est l’acteur central de la borne ⭐️
De manière générale, ces CPOs font appel à des constructeurs de bornes (très peu de CPOs construisent eux-même leurs bornes, bien que cela existe). Alpitronic, par exemple, est un constructeur italien dont la borne DC fait aujourd’hui référence sur le marché de la borne haute puissance, par sa fiabilité.
Les eMSPs (pour E-Mobility Service Providers) jouent à la fois le rôle de GPS et de solution de paiement. Ils permettent de localiser et de lancer la recharge une fois sur place, tout en gérant les paiements via des solutions à la recharge ou par abonnement. En plus de fournir des informations en temps réel sur la disponibilité des bornes, ils offrent un support client pour garantir une expérience de recharge fluide. On peut citer Chargemap par exemple 🗺️.
Afin de faciliter la gestion des bornes pour les CPOs, certaines entreprises se sont spécialisées dans le développement de logiciels de supervision 💻. Ces logiciels centralisent les données en temps réel sur la disponibilité des bornes, l'état de fonctionnement, la consommation d'énergie et les transactions de recharge. Nous avons entendu parler de Monta ou de Ampeco sur ce marché par exemple. A noter que certains CPOs font le choix de développer eux-même leur logiciel de supervision.
Impossible de parler des acteurs de la borne sans citer Girève (et son concurrent allemand Hubject), qui a construit une plateforme d’interopérabilité entre les différents réseaux de bornes des CPOs et les eMSPs. Elle permet la recharge à travers plusieurs réseaux via une seule carte ou application, simplifiant ainsi l'expérience utilisateur. On peut faire l’analogie avec le monde des télécoms : c’est un peu comme quand vous utilisez le réseau 4G d’Orange alors que vous avez un abonnement Bouygues.
Enfin, les CPOs font généralement appel à des entreprises spécialisées pour l’installation et la maintenance de l’IRVE 🛠️. Ici aussi, les acteurs sont divers : du technicien indépendant à la grosse entreprise type Vinci Energie ou Solutions30, en passant une myriade de TPE et PME.
Ça y est, vous savez tout sur l’écosystème des bornes de recharge.
Les grands chiffres autour des bornes
On compterait en France :
👥 près de 150 000 points de charge ouverts au public fin août 2024 (dont ~15% de bornes rapides)
🏢 près de 710 000 points de charge sur les parkings privés d’entreprises en 2023
🏠 et plus d’un million points de charge installés chez les particuliers
Pour un total de près de 1,8 millions points de charge en France.
En 2030, l’objectif fixé est de 7 millions de points de charge en service, dont 400 000 ouverts au public . Ce serait près de x4 en 6 ans… Quand on vous parle de “mega trend” ! 🤯
(Sources : Avere, Enedis)
On peut estimer à 1000€ le coût d’une borne AC, et environ 2500€ pour le coût pour l’installation. On parle de bornes pour les professionnels ici (compter plutôt 700€ pour une borne de particulier). Les bornes DC quant à elles coûtent 10 fois plus cher à l’achat et pour l’installation 💸. Ce sont des équipements bien plus complexes (Sources : nos interviews - trust us bro).
Dernier chiffre : le coût d’une recharge à domicile est entre 2€ et 4€ pour 100km, et il faut compter le triple pour une recharge sur une station publique. C’est beaucoup plus abordable de se recharger chez soi que sur une aire d’autoroute…
(Source : EDF)
Trois idées de business
On vous parle de tout ça mais n’oublions pas l’objectif final : lancer un business (et aider à sauver la planète 🌍). En adaptant un peu le format utilisé dans la dernière newsletter Nouvel Air sur nos explorations autour des batteries, on vous présente ci-dessous quelques idées que nous avons creusées dans le domaine fascinant des bornes de recharge.
Idée #1 : CPO pour les poids lourds 🚛
quel est le problème et qui concerne-t-il : on l’a vu lors de notre newsletter dédiée à la décarbonation du fret, la solution la plus pertinente pour rendre le fret routier plus vert semble être le camion électrique. Il va donc falloir équiper les transporteurs de borne pour qu’ils puissent recharger leurs camions
comment ce problème est-il résolu aujourd’hui : ce sont principalement des acteurs historiques de l’IRVE (tels que Freshmile) - qui ne sont pas spécialisés poids lourds - qui ont commencé à adresser ce marché
comment nous pourrions résoudre ce problème : créer un CPO (un opérateur de borne pour ceux qui ne suivent pas 🤓) dédié aux poids lourds
pourquoi avoir abandonné cette piste : les co-fondateurs/anciens de Volta Trucks (start-up qui a designé et produit son propre camion électrique, une magnifique boîte qui n’a malheureusement pas eu le succès qu’elle méritait) se sont lancés sur le sujet avec leur projet Decade Energy. On peut aussi citer Bump ou ChargePoly qui ont lancé une offre sur ce segment. On ne voit pas vraiment ce qu’on aurait pu apporter au marché…
Idée #2 : réseau de bornes semi-privé dédié aux transporteurs 🌐
quel est le problème et qui concerne-t-il : toujours à la croisée des mondes du transport et des bornes, on s’est rendus compte que les transporteurs ont aujourd’hui très peu de solutions rentables pour recharger leurs véhicules en itinérance. La recharge en station publique coûte cher, et il existe peu de stations de recharge dédiées aux poids lourds. En plus de ça, investir dans des bornes de recharge rapides coûte très cher.
comment ce problème est-il résolu aujourd’hui : les transporteurs sont obligés de s’organiser avec leurs clients et leurs partenaires pour installer des bornes sur les flux qu’ils aimeraient électrifier. Mais bien souvent, la problématique de trouver un point de charge - et celle du coût de la recharge - forcent les transporteurs à abandonner le projet d’électrification. Dommage… 😢
comment nous pourrions résoudre ce problème : une solution serait de créer un réseau de bornes de recharge semi-privé installé sur les entrepôts des logisticiens, qui serait dédié aux transporteurs. Ils pourraient ainsi proposer à leurs confrères de se recharger sur leurs infrastructures en échange d’une rémunération. Cela permettrait d’amortir les investissements importants liés à l’installation de l’équipement d’un côté, et de proposer des solutions de recharge économiquement intéressantes de l’autre.
pourquoi avoir mis cette piste de côté : on est persuadés qu’un acteur de ce type verra le jour, mais le faible nombre de camions électriques qui circulent aujourd’hui en France (de l’ordre du millier de camions) rend la tâche compliquée sur les premières années 🥵
Idée #3 : installation & maintenance des bornes de recharge 🛠️
quel est le problème et qui concerne-t-il : on constate aujourd’hui un gros problème autour du taux de disponibilité de l’IRVE. Une énorme partie des bornes de recharge publiques est en maintenance ou hors service - près de 20% début 2024 (Source : Avere). Globalement, les CPOs se sont surtout concentrés sur l’agrandissement de leur réseau, et un peu moins sur sa qualité.
comment ce problème est-il résolu aujourd’hui : les CPOs ont deux solutions : 1️⃣ faire appel à des réseaux nationaux (tels que Vinci Energie ou Solutions 30) 2️⃣ sourcer, qualifier et contractualiser avec des entreprises locales dans chaque département. Avec des avantages et des inconvénients des deux côtés - prix élevé, manque de flexibilité… pour l’un ; très chronophage, peu scalable, qualité aléatoire… pour l’autre.
comment nous pourrions résoudre ce problème : on envisage différentes possibilités - développement d’une plateforme de mise en relation entre CPOs et techniciens, service de maintenance dédiée IRVE, outil de gestion des interventions… La solution définitive n’est pas encore arrêtée, et sera certainement composée de différentes briques.
pourquoi avoir mis cette piste de côté : ce n’est pas une idée que l’on a écartée (pour une fois nous direz-vous !). Bien au contraire, on creuse cette piste très sérieusement ! Stay tuned… 🚀
[Le moment formation] Nos rituels d’Entrepreneurs pendant la phase d’idéation
Imaginez : vous avez trimé pendant 6 ans nuit et jour sur une première entreprise (Pulp en l’occurence) et du jour au lendemain vous passez au chômage. Votre agenda ressemble à ça et ce pour les 100 prochaines années :
Clairement, il est l’heure de prendre un peu de temps pour soi 🧘. Ce qu’on a fait entre Octobre 2023 et Février 2024… Mais ça ne peut pas durer indéfiniment. À un moment :
on commence à s’ennuyer.
il faut bien s’y remettre pour gagner sa vie.
Et là tous nos amis nous posent la même question : “Je ne sais pas comment tu fais pour te motiver ? Moi à ta place je n’arriverais pas à bosser…”.
C’est le moment de vous partager nos petits secrets et rituels qui nous permettent de nous motiver et d’avancer sur la prochaine idée, malgré l’attrait du plaid et du canapé.
L’atelier Timelines - Définir des objectifs quand on part d’une feuille blanche
La 1ère question qu’on se pose à intervalle régulier c’est : “où on veut en être dans 3 mois ?”
Pour l’instant, la réponse a toujours été la même : tant qu’on a pas trouvé, on cherche une idée et idéalement un premier client (ie qui nous assure d’acheter le service si on le développe).
À partir de là on couche sur papier un rétroplanning “grosses mailles” pour identifier comment y arriver :
Mois 1 : décider du marché sur lequel se concentrer, en apprendre plus et rencontrer des experts pour savoir s’il y a des problématiques que l’on pourrait adresser.
Mois 2 : interviewer de potentiels clients pour comprendre comment ils gèrent ces problématiques et si on pourrait les résoudre.
Mois 3 : imaginer une solution et la présenter à ces potentiels clients afin de savoir si effectivement ça résout leurs problèmes. Puis vérifier s’ils seraient prêts à l’acheter.
Si une de ces 3 étapes n’est pas validée en cours de cycle, on passe à la prochaine idée !
Tous les mois, on fait donc un “atelier Timelines” :
On commence par un bilan sur le cycle en cours.
On se demande si on passe à la prochaine étape…
…ou si on arrête pour partir sur une nouvelle idée.
→ Un exemple de Timelines sur notre idée autour de pièges à moustiques - qu’on avait explorée au tout début de l’aventure.
Cet atelier, c’est également l’occasion de se demander : “Sur quels points j’ai besoin d’être rassuré ? Comment être convaincu que c’est le sujet sur lequel je veux passer les 10 prochaines années de ma vie ?”. On documente la réponse à cette question sous forme d’un listing d’hypothèses à valider sur le cycle à venir.
→ Un exemple d’Hypothèses à valider sur les Moustiques + un lien vers la méthodologie de définition des hypothèses (Lean Startup).
Les Weekly Meetings - Donner du rythme, se fixer des objectifs court-terme et bien communiquer entre nous
Format assez classique dans la Startup Nation, nous avons également notre petit rendez-vous hebdomadaire ou “weekly meeting” à nous chez Nouvel Air. Très simple :
On commence par une liste des points à traiter qu’on a notés depuis le dernier meeting.
On fait un bilan des avancements sur la semaine passée.
On se donne 3 objectifs chacun à accomplir pour la semaine à venir.
NB : on fait également un autre point de suivi à mi-semaine sur l’atteinte de ces objectifs
→ Le Template de notre Weekly ici.
La session prospection de la semaine
On ne va pas se le cacher : démarcher des potentiels clients, leur demander de nous accorder du temps, alors que souvent on a rien à leur montrer… Ce n’est pas évident. Ça peut même parfois devenir franchement pénible quand il faut envoyer en moyenne 100 messages pour 1 réponse positive.
C’est beaucoup plus sympa de faire cet exercice à plusieurs ensemble plutôt que tout seul chez soi, pour différentes raisons :
tout le monde est dans le même bateau.
tu peux demander de vive voix “tu connais Pierre M. ? J’ai vu que tu avais plein de connexions en commun avec lui sur Linkedin”.
tu savoures mieux les victoires…
… et tu peux rire des petites défaites.
Bref, toutes les semaines, le mardi matin, on bloque 2h dans l’agenda pour prospecter tous les 3 ensemble. Ça n’empêche pas de continuer à prospecter entre deux RDVs (on se fixe de gros objectifs de prise de RDVs), mais au moins on a un moment dans la semaine où cette prospection est plus fun 💫
RDV au bureau… Virtuel !
Rien ne vaut l’émulation que l’on ressent quand on se retrouve pour travailler ensemble lors d’un lancement de projet. Le petit hic, c’est qu’Olivier vit à Biarritz 🏄♂️☀️.
Qu’à cela ne tienne, si on ne peut pas aller au bureau, le bureau vient à nous ! 4 jours par semaine, on se retrouve sur gather.town, notre “open space” virtuel. Honnêtement pas très utile pour les entreprises qui ont un déjà un vrai bureau, cet outil prend tout son sens pour les équipes en full remote. On a vraiment le sentiment d’être dans la même pièce, ce qui facilite grandement les échanges.
Antoine et moi (Arnaud), on se retrouve également une ou deux fois par semaine l’un chez l’autre (en vrai) pour travailler ensemble.
Le point Founders - “Comment ça va vous en ce moment ?”
Cela nous arrive relativement souvent de parler à des fondateurs qui entreprennent pour la première fois et qui nous demandent quelques conseils. Une grosse erreur que l’on voit souvent est de ne pas prendre le temps de parler entre associés :
de ce qui va.
de ce qui ne va pas.
Une habitude qu’on a prise assez rapidement à l’époque de Pulp et qu’on a reprise immédiatement chez Nouvel Air est d’organiser un point Founders une fois par mois.
L’idée ici est de prendre un moment plus détente (autour d’un verre ou au restaurant quand on peut se retrouver) pour parler de notre état d’esprit du moment, à la fois côté pro et côté perso. En tant qu’associés, il faut savoir tout se dire mais c’est difficile de trouver spontanément le bon moment > le point Founders, that’s the bon moment.
Rien n’est plus important que la santé mentale des fondateurs car si l’un d’entre nous craque, c’est le projet qui s’effondre.
Avec les années, on a mis en place un cadre qui permet de remonter les points de façon efficace :
une première discussion la plus informelle possible sur d’éventuels problèmes qui pourraient être vraiment gênants (exemple : “Bon les gars ça va pas au top en ce moment, j’ai perdu mon pull préféré en boite de nuit samedi… J’espère que ça ne va pas trop impacter mon travail mais je préférais vous prévenir…”)
puis une session “Keep / Drop / Start” où l’idée est de dire ce qu’on aimerait garder ou arrêter dans notre façon de travailler + proposer des nouveautés qu’on aimerait tester.
→ un article qui détaille la méthode de rétrospective Keep / Drop / Start.
Un petit mot pour finir…
Au global, on trouve que ce système fonctionne très bien, et on continue à le faire évoluer en permanence. Les premières semaines, on s’est remis dans le bain avec uniquement les points hebdomadaires. On a parfois besoin de débriefer un peu plus sur tel ou tel sujet, et on cale des points adhoc. Plus tard dans la vie de l’entreprise, une fois qu’elle sera lancée avec 10-15 collaborateurs, on recommande vraiment la méthode OKR pour se fixer des objectifs.
Trouvez une façon simple de commencer à bosser, communiquez sur ce qui marche ou pas et itérez !
Quelques derniers rituels à garder en tête : un esprit sain ne peut fonctionner que dans un corps sain.
Gardez du temps pour vous (chez Nouvel Air, on ne travaille pas le weekend à ce stade)
prévoyez des plages pour vous aérer ou des sessions de deep focus (“no call zone” le vendredi aprem)
et surtout gardez une activité sportive régulière (badminton + foot + piscine de mon côté) > c’est d’ailleurs l’ultime conseil sur la Cheat Sheet du fameux incubateur californien Y Combinator !
🙏 Un grand merci d’avoir lu cette édition jusqu’au bout !
As usual, on vous invite à mettre un like et à écrire un commentaire pour avoir vos retours qui sont précieux pour nous !
Et on vous sollicite encore et toujours : on cherche à échanger avec des entreprises qui ont installé des bornes sur leurs sites, pour leurs employés. N’hésitez pas à nous faire signe (en réponse au mail de la newsletter par exemple) si vous connaissez des personnes dans ce type d’entreprise.
Peace ✌️
Antoine, Arnaud et Olivier
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Merci à tous les trois pour ces partages toujours inspirants et utiles 💡 tant sur le business que sur vos démarches et réflexions en tant que founders !